Synthèse de l’atelier du 3 octobre

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Synthèse de l’atelier du 3 octobre

Quoi après Alternatiba ?

Synthèse faite par Amélie et Estelle.

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Le Pire (où on exprime ce qui nous fait peur, pour se sentir plus légerE ensuite!)

Deux craintes majeures :
-il ne se passe plus rien (on s’auto-censure, les paroles ne sont accompagnées d’aucune action)
-Le mouvement est récupéré à des fins partidaires (reprise du mouvement par un leader)

Les valeurs et les principes (où on exprime ce qui nous rassemble)

« NOUS NE DÉFENDONS PAS LA NATURE,
NOUS SOMMES LA NATURE QUI SE DÉFEND ! »

C’est la remise en question du modèle dominant de nos sociétés qui nous met en mouvement.

Un mouvement d’accueil et d’ouverture : bienveillant, convivial, dans l’écoute et le respect des singularités
Un mouvement reposant sur un collectif, sur le faire ensemble : participatif / collaboratif, en auto-gestion / horizontal, mutualiste, fédérateur, solidaire.
Un mouvement qui part du concret : fait de débats et d’échanges, d’actions et d’expérimentations, faisant le lien entre le local et le global.
Un mouvement qui se permet le rêve et l’utopie : dans la fantaisie, la joie, la créativité et la fête.

Les rêves (où on se permet l’utopie, pour en faire la réalité de demain…)

Un Alternatiba »…

…Partout, tout le temps
…Un par an
…Un dans tous les villages de Sarthe
…Composé d’un immense banquet

Le rêve d’un lieu...

…D’une société, d’une ville en transition, d’un village, d’une communauté, d’un oasis de vie, de jardins partout, d’un hangar de bricolage : d’un lieu où construire les alternatives !

Transformer le monde : la victoire des alternatives !

Par la transformation du pouvoir : « l’évolution du mouvement Alternatiba mettrait en évidence l’obsolescence des politiques politiciennes »
Par la transformation de l’économie : en sortant du capitalisme et du consumérisme, en créant une monnaie locale, en pratiquant d’autres modes d’échange, des zones de gratuité étendues.
Par la transition énergétique : en sortant du nucléaire et des énergies fossiles.
Par la transition agricole : en sortant du modèle productiviste et polluant.
Par la transformation du travail : (« œuvrer plutôt que travailler ! » ) dans une SCOP, au travers d’un mouvement d’éducation globale et d’émancipation, en expérimentant ensemble, en créant un média alternatif.


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